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14 septembre 2010 2 14 /09 /septembre /2010 15:13

Trautman : Je veux que tu viennes avec moi John.
Rambo : J'ai déjà donné.
Griggs : Qu'est-ce que ça veut dire ?
Rambo : Que moi, ma guerre est finie.

 

Rambo : Je sais pas ce que vous pensez de cet endroit, mais moi je l'aime. Ça me plait d'être ici. J'aime travailler ici. J'aime y avoir ma place.
Trautman : Tu as ta place quelque part, mais pas ici. Aurais-tu fermé la boucle ?
Rambo : De quoi parlez vous ?
Trautman : Tu as dit que pour toi ta guerre était finie. Peut-être celle à l'extérieur, mais pas celle à l'intérieur de toi. Je sais pourquoi tu es ici John, mais ce n'est pas une solution. Tu peux essayer mais tu n'échapperas pas à ce que es réellement.
Rambo : Et pour vous je suis quoi ?
Trautman : Un combattant de pure race.
Rambo : Plus maintenant, je ne le veux plus.
Trautman : Et pourtant c'est ainsi ça te colle à la peau. Laisse moi te raconter une histoire John. Il était une fois un sculpteur qui trouvait une pierre, une pierre extraordinaire. Il la traîna chez lui et travailla dessus pendant des mois. Quand il eu fini son oeuvre, il la montra a ses amis qui dirent tous qu'il avait créé une grande statue. Le sculpteur dit qu'il n'avait rien créé, la statue avait toujours été là, il l'avait juste dégagée de son revêtement. Ce n'est pas nous qui avons fait de toi cette machine de guerre, nous avons seulement dégrossi les contours. Tu ne fera que te déchirer toi même jusqu'a ce que tu acceptes d'être ce que tu es, jusqu'a ce que tu fermes la boucle.
Rambo : P'tet que j'suis pas mûr ?

 

 

 

Mousa : Tu n'es pas militaire, tu n'es pas mercenaire, qu'est-ce que tu es ? Un touriste égaré ?
Rambo [grr] : J'ai l'air d'un touriste ?
Mousa : Désolé.

 

Mousa : Qu'est-ce que c'est que ça ?
Rambo : Une lumière bleue.
Mousa : Et ça fait quoi ?
Rambo : Du bleu.
Le bleu

Mousa : Ecoute, je ne sais pas exactement qui tu es, mais avec l'allure que tu as, je crois que tu n'as pas l'expérience de la guerre. Non ? Répond tu en as ?
Rambo : J'ai vidé quelques chargeurs.
Zaysen : En fin de comptes ce que tout le monde veut, c'est la paix.
Trautman : Le kremlin a un sacré sens de l'humour.
Zaysen : Voulez vous expliquer ?!
Trautman : Vous parlez de paix, de désarmement dans le monde, mais ici vous faites tout pour exterminer un peuple !
Trautman : Si vous aviez étudié votre histoire vous sauriez que ce peuple n'a jamais été vaincu par personne ! Ils préfèrent mourir qu'être les esclaves d'une armée d'envahisseurs ! Vous voulez vaincre un peuple comme ça ? Nous avons essayé, nous avons déjà eu notre Vietnam ! À vous maintenant d'avoir le votre.
La prière
Mousa : Un ancien ennemi a fait une prière qui parle de ce peuple. Tu veux l'entendre ?
Rambo : Humhum.
Mousa : Très bien, elle dit "puisse Dieu nous délivrer du venin du cobra, des crocs du tigre et de la vengeance de l'afghan." Tu comprends ce que ça veut dire ?
Rambo : Qu'il vaut mieux pas vous emmerder.
Mousa : Oui, quelque chose comme ça.
Mousa : Cette grotte nous conduit à la vallée des cinq lions. Dans l'ancien temps le roi Afghan devait envoyer cinq cent de ses guerriers au combat, il n'en envoya que cinq. Ses cinq meilleurs. Et ils ont gagnés ! Il dit qu'il valait mieux envoyer cinq lion, que cinq cent moutons ! Qu'est-ce que tu penses de ça ?
Rambo : Que même les rois ont de la chance.
[Trautman se fait interroger]
Zaysen : Alors, où est ce que les missiles sont localisés ?
Trautman : Tout près...
Zaysen : Où ça ?
Trautman : Dans ton cul.
DTC !
Masoud : Il ne faut pas nous juger avant de comprendre pourquoi nous n'aidons pas facilement. La plupart des Afghans sont des gens très fort et nous sommes déterminés à ne pas nous laisser chasser de notre terre. Nos enfants meurent à cause des maladies, des mines, et des gaz toxiques. Et les femmes sont violées assassinées. L'an dernier dans la vallée de Legman, la vallée à coté, six mille Afghans ont été tués. Il y a eu des femmes enceintes, le ventre ouvert à la baïonnette et leur bébé ont été jetés dans le feu. Ils font ça pour ne pas avoir à combattre la prochaine génération. Pour l'instant personne ne voit rien, ou ne lit quoi que ce soit dans la presse. Ce que tu vois ici, ce sont les soldats Mujaidin, des guerriers sacrés. Pour nous cette guerre est une guerre sacrée. Et il n'y a pas de vraie mort pour les Mujaidin parce que nous avons reçu les derniers sacrements et nous considérons que nous sommes déjà mort. Pour nous mourir pour notre pays et dieu est un honneur. Alors mon ami, ce que nous devons faire c'est arrêter le massacre de nos femmes et de nos enfants.
Rambo : Quelles sont les règles ?
Mousa : Hé bien il faut attraper le bouc dès que tu peux et le jeter dans le cercle.
Rambo : Pourquoi ?
Mousa : Hé parce qu'il y a un cercle pour ça !
Rambo : C'est tout ?
Mousa : C'est tout, très simple.
Rambo : Comme le football.
Mousa : Je pense que Dieu aime les fous.
Rambo : Pourquoi ?
Mousa : Il en met tellement au monde !
L'honneur
Masoud :
Quelque part dans une guerre, il doit y avoir l'honneur. Où est l'honneur ici ? Où ?!
Masoud : Va t'en, va t'en tant que tu peux. Cette guerre n'est pas la tienne.
Rambo : Elle l'est maintenant.
Zaysen : Qui est ce terroriste ?! Pourquoi avez vous autant de valeur pour lui ?! Ce salopard a essayé de m'éliminer cette nuit ! Mais il a échoué ! À l'aube je vais le traquer comme un animal et j'accrocherais sa peau au mur !
Trautman : Vous n'aurez pas à le traquer.
Zaysen : Pourquoi ?!
Trautman : C'est lui qui vous trouvera.
Zaysen : Vous êtes fous. Un homme seul contre des commandos d'élite mais pour qui prenez vous cet homme ? Dieu ?
Trautman : Nooon, Dieu aurait pitié, lui non.
Trautman : Ça va ta blessure ?
Rambo : Vous nous avez appris à ignorer la douleur.
Trautman : Ça marche ?
Rambo : Pas vraiment, mais j'vous en veux pas.
Trautman : Merci.
Bien cuit
Trautman : Ça va John ? Comment tu t'sens ?
Rambo : Bien cuit.
Trautman : Désolé de t'avoir entrainé là dedans John.
Rambo : Menteur !
[par radio]
Zaysen : Qui êtes-vous ?
Rambo : Ton pire cauchemar.
[Rappelons la scène : Rambo et Trautman sont seuls dans le désert, face à l'armée ennemie (une bonne centaine d'hommes, tanks, hélico avec le méchant dedans tout ça)]
Zaysen [depuis l'hélico] : N'essayez pas de battre en retraite, vous ne pouvez pas vous échapper. Nous n'attaquerons que si vous vous enfuyez. Nous ne voulons pas vous faire de mal.
Trautman : Je ne sais pas pourquoi mais je ne l'crois pas.
Zaysen : Je vous ordonne de vous rendre et vous aurez un procès équitable. Lâchez vos armes maintenant et restez où vous êtes. Lâchez vos armes.
Rambo : Ça doit être dur de les encercler.
Trautman : Drôle de moment pour faire de l'humour John.
Zaysen : Lâchez vos armes ! Maintenant ! Vous n'avez aucune chance de vous sauver. Avancez ! Je veux vous ramener vivant ! Dernier avertissement ! À vous de choisir.
Trautman : Qu'est-ce que tu en dis John ?
Rambo : On fonce !
Mousa : Tu es sûr que tu ne veux pas rester ? Tu te bats bien pour un touriste.
Rambo : Peut-être une autre fois...
Trautman : Dis moi John.
Rambo : À vos ordres colonel.
Trautman : C'est pas très agréable à admettre, mais je trouve qu'on s'est ramollit.
Rambo : Un peu colonel, un p'tit peu.
The end
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14 septembre 2010 2 14 /09 /septembre /2010 15:00

Rambo : Quand je suis revenu au États-Unis, en fait j'ai trouvé une autre guerre.
Co Bao : Quelle guerre ?
Rambo : Une sorte de guerre qui n'a pas son nom. La guerre contre les anciens soldats, les anciens du Vietnam. Une guerre qu'on peut pas gagner. 'fin... c'est mon problème.

 

 

 

 

Co Bao : Et toi qu'est-ce qu tu veux ?
Rambo : Oh... Gagner, survivre.
Co Bao : Ce n'est pas si facile de survivre. On est toujours en guerre.
Rambo : Survivre à une guerre... faut devenir la guerre.
Co Bao : C'est pour ça qu'ils t'on mit dans ce coup ? Parce que tu aimes te battre ?
Rambo : Non... Je suis remplaçable.
Co Bao : Remplaçable ? Qu'est-ce que ça veut dire "remplaçable" ?
Rambo : C'est quelqu'un qui t'invite à une soirée avec plein d'autre gens. Et si toi t'y va pas, personne n'en parle.                                                                       

 

 

 

Rambo [désignant le pendentif de Co Bao] : Qu'est-ce que c'est ça ?
Co Bao : C'est pour me porter chance. Et toi ? Qu'est-ce qui te porte chance ?
Rambo [montrant son couteau] : Ça, je crois.
Tu n'es pas remplaçable
Co Bao :
Rambo ! Tu n'es pas remplaçable.
Murdock : Trautman je crois que vous ne comprenez toujours pas ce qui est en jeu dans cette affaire.
La guerre, encore ?!Trautman : La même chose que d'habitude, l'argent. En 71 nous devions verser aux Viêt-Cong quatre milliards et demi d'indemnité de guerre. On a pas payé, ils ont gardé les prisonniers américains. Et vous faites la même chose une fois de plus
Murdock : Et que voudriez vous faire Trautman, céder au chantage ? Filer du pognon pour récupérer nos propres hommes et ainsi financer leurs forces militaires contre nos alliés ? Vous voulez peut-être qu'un prisonnier rescapé se pointe au journal de vingt heures ?! Qu'est-ce que vous voulez ?! Recommencer la guerre ? Envoyer une bombe sur Hanoi ? Vous voulez que tout le monde réclame qu'on renvoie nos armées au Vietnam ? Vous croyez que vous trouvez quelqu'un pour monter à la tribune du sénat des États-Unis et demander des millions de dollars pour récupérer deux ou trois fantômes ?!
Trautman : Des hommes bordel de merde ! Des hommes qui se sont battus pour leur pays !
Murdock : Ça suffit ! Trautman, je vais oublier la conversation que nous venons d'avoir.
Trautman : Vous êtes un beau salaud.
Murdock : Et si j'étais vous, je ne commettrais pas l'erreur d'aborder à nouveau ce sujet.
Trautman : C'est vous qui avez commis une erreur.
Murdock : Et vous allez me dire laquelle.
Trautman : Rambo.
J'aurais votre peau
Rambo :
Murdock... J'vais revenir et j'aurais votre peau.
Mission accomplie
Rambo :
Mission... Accomplie.
Rambo : Il y a encore d’autres prisonniers, et vous savez où ils sont. Trouvez les, ou c'est moi qui vous retrouverais.
Trautman : Tu auras une deuxième médaille d'honneur pour ça.
Rambo : Donnez la aux prisonniers, ils la méritent plus que moi.
Trautman : Arrête ta fuite en avant John, tu es libre maintenant. Reviens avec nous.
Rambo : Pour trouver quoi ? Mes amis sont morts ici, une partie de moi est morte ici.
Trautman : La guerre. Ce qui est arrivé ici est p'tetre moche mais tu ne dois pas haïr ton pays pour ça.
Rambo : Le haïr ? Je mourrais pour lui !
Trautman : Mais alors qu'est-ce que tu veux ?
Rambo : Je veux... Ce que eux veulent ! Et ce que tout les autres gars qui sont venu ici et qui on vidé leurs tripes et donné tout ce qui avaient dans le ventre veulent ! Nous voulons juste que notre pays nous aime autant que nous l'aimons ! Voilà ce que j'veux !
Trautman : Et comment va tu vivre ?
Rambo : Au jour le jour.
Au jour le jour
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14 septembre 2010 2 14 /09 /septembre /2010 14:52

Trautman : C'est pas possible que tu veuille rester ici pendant cinq ans ?
Rambo : Ici je sais où j'en suis au moins.
Trautman : D'abord écoute ce que j'ai à te dire : Une opération clandestine doit être lancée en extrême orient. Ton nom est sorti de l'ordinateur parmi les trois noms d’hommes capables de remplir cette mission.
Rambo : Mission ?
Trautman : La recherche des prisonniers américains au Vietnam.
Rambo : Pourquoi maintenant ? Pourquoi moi ?
Trautman : L'objectif est le camp de prisonnier dont tu t'es évadé en 71 et personne ne connait mieux que toi le terrain. Le facteur risque est très élevé, tu sera provisoirement réintégré dans l'armée et si tu réussi ta mission tu peux espérer la grâce présidentielle. Ça t'intéresse ?
Rambo : ... Oui.

 

 

 

 

Rambo : Colonel ? Cette fois on y va pour gagner ?
Trautman : Cette fois ça dépend de toi.
Murdock : Si il y a encore certain de nos hommes dans le camp qui sera votre objectif, vous devez confirmer leur présence en prenant des photographies.
Rambo : Des photographies ?!
Murdock : Juste des photographies. En aucune circonstance vous ne devrez attaquer l'ennemi.
Rambo : Vous voulez que j'les laisse là bas ?                                                                                                                                                            
Les ordres

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Rambo : J'ai toujours pensé que c'était l'esprit la meilleur arme.
Murdock : Les temps changent.
Rambo : Peut être pour vous.

 

 

 

 

Murdock : Vous êtes sûr qu'il n'est pas resté un peu déséquilibré depuis la guerre ? On ne peut pas se permettre d'envoyer pour cette mission quelqu'un qui peut craquer dans cet enfer !
Trautman : De craquer ? Laissez moi vous dire que Rambo est le meilleur ancien combattant du Vietnam que j'conaisse. Une pure machine de combat qui n'a qu'un désir : Gagner une guerre que d'autres ont perdu. Et si gagner veut dire se faire tuer, il se fera tuer. Pas de peur, pas de regrets. Et... une chose encore... ce que vous appelez "l'enfer", il appelle ça "chez lui".

 

  •  

L'enfer de Rambo 

 

 


 

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14 septembre 2010 2 14 /09 /septembre /2010 14:40

[ils sont en ville]
Rambo : Je peux manger quelque chose par ici ?
Teasle : Y'a un self à cinquante kilomètres sur la nationale.
Rambo : Est-ce qu'il y a une loi qui m'interdit de manger ici ?
Teasle : Oui, moi.
Rambo : Pourquoi vous m'emmerdez ?
Teasle : Qu'est-ce que vous dites ?
Rambo : Je demande pourquoi vous m'cherchez, j'ai rien fait.
Teasle : D'abord c'est pas vous qui posez les questions par ici c'est moi. C'est compris ? Ensuite... On veut pas de types comme vous dans cette ville. Des vagabonds. Parce qu'on en a déjà toute une bande de types comme vous dans cette ville, voilà pourquoi. Mais de toutes façons vous ne vous plairiez pas ici c'est... C'est une petite ville tranquille. On peut même dire qu'on s'emmerde ici. Mais on l'aime comme ça, et c'est pour la garder comme ça qu'on me paie.
Rambo : On s'emmerde...

 

 

 

Teasle : Si vous voulez un conseil amical, allez chez le coiffeur et prenez un bain. Et personne ne vous emmerdera plus

 

 

 

 

Teasle : Pourquoi est-ce que vous portez un couteau comme ça hein ?
Rambo : Pour chasser.
Teasle  : Ne m'dites pas d'conneries, qu'est-ce que vous pouvez chasser avec ça ?!
Rambo : Le cerf.

 

 

 

 

J'aime pas ta p'tite gueule
Arthur Gault :
J'aime pas ta p'tite gueule... Du tout !

 

 

 

Mitch : Bon sang mais est-ce que vous êtes aveugle ? Vous voyez pas que ce type il est complètement dingue ?!
Arthur Gault : Et toi tu vois pas que j'en ai rien à foutre ?
Mitch : Ah si ça j'peux le voir...

 

 

 

Mitch : Tout ça ne sert à rien.
Shingleton : Hey pourquoi ?
Mitch : Tu sais pas qu'on était à trois contre lui dans la cellule ? Il s'est débarrassé de nous comme si on n'était pas là.
Shingleton : Déconne pas...

 

 

 

J'ai rien fait !
Rambo :
Y'a un mort ! C'est pas ma faute ! J'veux de mal à personne !
Lester : Vous vous êtes attaqué à un sacré morceau. Ça vient de tomber y'a deux minutes sur les téléscripteurs. John Rambo est un ancien du Vietnam, un béret vert, médaille d'honneur du congrès. Ce type est un héros de guerre !
Epingler la médaille d'honneur
Will Teasle :
J'veux m'le faire ce salopard ! Et j'vais lui épingler sa saleté de médaille d'honneur du congrès sur le foie !
Le pouvoir de tuer
Rambo :
J'pouvais tous les tuer. Toi aussi j'pouvais te tuer. En ville tu fais la loi, mais ici c'est moi. Alors fais pas chier. Me fais pas chier ou j'te ferais une guerre comme t'en as jamais vu ! Laisse tomber. Laisse tomber...
Teasle : Qu'est-ce qui a pris à Dieu de faire un type comme Rambo.
Trautman : Dieu n'a pas fait Rambo. C'est moi qui l'ai fait.
Le colonel TrautmanTeasle : Et qui êtes vous, vous ?
Trautman : Sam Trautman. Colonel Samuel Trautman.
Teasle : Nous sommes très occupés ce matin Colonel, que puis-je faire pour vous ?
Trautman : Je viens chercher mon poulain.
David : Votre poulain ?
Trautman : J'ai recruté cet homme. Entraîné cet homme et commandé cet homme au Vietnam pendant trois ans. Je crois que ça en fait mon poulain.
Teasle : Je me demande pourquoi le pentagone enverrait un véritable colonel actif pour régler ça.
Trautman : L'armée a estimé que j'pouvais vous aider.
Teasle : Bah alors là j'vois pas comment. Rambo est un civil maintenant c'est mon problème.
Trautman : Je n'crois pas que vous m'compreniez. Je ne suis pas venu sauver Rambo de la police, je suis venu vous sauver de Rambo.
Teasle : Ah... Et bien votre sympathie me touche beaucoup colonel, nous allons nous montrer extrêmement prudents.
Trautman : C'qui m'étonne le plus c'est qu'il ait laissé un seul de vos policiers en vie !
Teasle : Oh vraiment ?
Trautman : Ce genre de bonté ne lui ressemble pas. Alors estimez-vous heureux.
Teasle : Voilà qui est parfait ! Colonel vous êtes venu ici pour savoir pourquoi l'une de vos machines a piqué sa p'tite crise ?!
Trautman : Vous ne voulez pas accepter le fait que vous êtes en face d'un expert dans la guerre d'embuscade. D'un homme qui est le meilleur au fusil, au couteau ou à mains nues. Un homme qui a apprit à ignorer toutes les souffrances. À ignorer le temps ! À vivre sur le terrain, à manger des choses qui feraient vomir un bouc ! Au Vietnam sa mission était de faire ce qu'il voulait de l'ennemi, de tuer ! Quoiqu'il arrive ! De gagner par l'usure ! Pour ça Rambo était le meilleur.
Trautman : Mais tous les hommes qui le poursuivront se feront tuer !
Teasle : Oh vous savez on est juste la police locale d'une petite de campagne colonel mais on nous demande de faire notre devoir tout comme les héros de vos forces spéciales !
Trautman : Dans les forces spéciales nos gens apprennent d'abord que leur devoir est de rester vivants.
Teasle : Oh merde j'avais jamais pensé à ça !
Trautman : Vous voulez une guerre que vous allez perdre ?
Teasle : Vous voulez me faire croire que deux cents hommes contre votre poulain colonel c'est une situation perdue d'avance ?!
Trautman : Si vous lancez vos hommes n'oubliez pas une chose.
Teasle : Quoi ?!
Trautman : Réservez dès maintenant leur place à la morgue.
Rambo : Ce connard m'a emmerdé colonel.
Trautman : Mais t'es venu l'emmerder toi aussi John.
Rambo : Eux ont versé le premier sang pas moi.
Trautman : Ecoute Johnny, laisse moi venir te chercher pour te sortir de là.
Rambo : Premier sang
Teasle : Je suppose... J'ai l'impression...
Trautman : Que l'on vous a... volé votre chance ?
Teasle : Je voulais tuer ce salaud. J'en avais l'eau à la bouche tellement j'en avais envie.
Trautman : Vous ne vous sentez pas bien avec étoile ? Il y a des moments ou on se sent mal à l'aise. Au Vietnam Rambo et moi on s'est sentis mal à l'aise plus d'une fois. Dans le doute : tuer. Mais enfin vous êtes un civil, vous pouvez rentrer retrouver votre femme, votre maison, vos livres, votre jardin, et dans cette ambiance, comprendre les choses.
Teasle : Oui mais vous colonel, comment vous les comprenez les choses dans cette affaire ? J'veux dire qu'est-ce que vous auriez fait de ce type si vous aviez obéi ? Vous l'auriez pris dans vos bras, en lui roulant un patin ? Ou vous auriez fait sauter sa p'tite gueule ?
Trautman : Je n'aurai pu répondre à ça qu'en me trouvant en face à face avec lui.
Teasle : Ouais. Vous n'en savez rien quoi. C'est une chance qu'on n'ait plus jamais l'occasion de le savoir.

Le vol de chance

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Trautman : Teasle vous et tout vos hommes vous avez déjà échoué, qu'est ce qui peut vous faire croire que vous réussirez maintenant ? Parce que Dieu sait quels dégâts il est encore capable de vous faire. Vous allez mourir Teasle.
Teasle : Tout le monde meurt un jour.
Trautman : Il y a un seul homme dans cette pièce qui a une demi chance, et ce n'est pas parce que je suis meilleur que lui, mais c'est parce qu'il a confiance en moi. Je suis sûrement le seul semblant de famille qui lui reste et je vais avoir besoin de ce léger avantage.
Teasle : Nom de

Dieu mais en quoi sont fait les types comme vous ?

 

Vous allez mourir

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Trautman : C'est terminé Johnny ! C'est Terminé !
Rambo : Rien n'est terminé ! Rien ! Tout continue à cause de vous ! C'était pas ma guerre ! C'est vous qui m'avez appelé pas moi ! J'ai fait ce qui fallait pour gagner ! Mais on a pas voulu nous laisser gagner ! Et j'suis revenu dans le monde ! Et j'ai vu ces larves m'attendre à l'aéroport ! Me conspuer comme un criminel ! Ils m'ont traîté de toutes les saloperies, ils m'ont appelé "Le boucher" ! Qui sont-ils pour me faire des reproches hein ?! Qui sont-ils ? Est-ce qu'ils étaient à ma place en pleine jungle ?! Ils nous jugent et ils parlent !
Trautman : C'est un moment dur pour tout le monde Rambo. Tout ça c'est du passé maintenant.
Rambo : Pour vous !!! Pour moi la vie civile c'est rien ! Au combat on avait un code d'honneur, tu couvres mes arrières j'couvre les tiens ! Mais ici y'a plus rien !
Trautman : Tu es le dernier d'un groupe d'élite, ne finis pas comme ça.
Rambo : Là-bas je pilotais un avion de chasse, j'pouvais conduire un tank ! J'avais en charge un million de dollars de matériel mais ici j'arrive pas à avoir un boulot de gardien de parking !!! Raaah ! [il pleure] Où ils sont tous ? Où ils sont ? Mes amis...

 

 

 

 

Rambo [sanglotant] : Dans cette baraque où on était y'a un gosse qui c'est pointé. Ce gosse il avait une boîte pour cirer les pompes il a dit "chaussures s'vous plait, chaussures". Moi j'ai dit non, puis il a continué à demander alors Joe il a dit oui. J'suis allé chercher deux p'tites bières et la boîte est piégée, il ouvre la boîte, son corps explose en morceaux dans toute la pièce. Il est étendu il hurle à la mort j'ai des bouts de chair partout sur moi comme ça ! J'ai dû enlever les morceaux vous savez ! Ma veste était couverte des restes de mon ami ! Du sang et tout j'essaie de remettre tout en place ! Et son ventre s'ouvre et ses entrailles me tombent dessus ! Et y'avait personne pour nous aider ! J'étais perdu et il s'est mit à crier "j'veux rentrer chez moi, j'veux rentrer chez moi !" il s'arrêtait plus de crier "j'veux rentrer chez moi ! j'veux conduire ma Chevrolet 58 !" il arrivait pas à trouver ses jambes. Il arrive pas à trouver ses jambes. J'peux pas sortir ça de ma tête. Ça fait pourtant sept ans ! Chaque jour j'y pense... J'me reveille j'sais plus où je suis... J'parle plus à personne. Des fois toute une journée... toute une semaine. J'arrive... ma tête...

 

  •  

Sanglots  

 

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14 septembre 2010 2 14 /09 /septembre /2010 14:31

Gabe :

Rappelle toi bien connard ! Interdiction de descendre avant l'arrêt complet !

The end

 

 

 

 

 

 

The grimpeur

Jessie : Gabe ? Où tu es Gabe ?
Gabe : Suspendu à tes lèvres !
Jessie : Ah c'est malin. La tête je reconnais pas, mais ce petit cul ça évoque quelques souvenirs.

 

 

 

 

 

Gabe : Alors ! Comment ce zozo t'as fourgué l'idée de faire la tour ?
Sarah : Il m'a dit que c'était mieux que la baise.

Mieux que la baise ?

 

 

 

 

 

 

 

Travers : Monsieur Tucker et Walker il nous manque trois bagages.
Gabe : Qu'est-ce qu'il y a dedans ?
Travers : Qu'est-ce que ça peut bien vous foutre ?
Qualen : Chaussures, chaussettes, une centaine de million de dollars rien de plus rien de moins...

Quelques millions

 

 

 

 

 

 

Qualen : N'est-ce pas Travers ?
Travers : Lâche moi un peu Qualen !
Qualen : Lâcher ? Je ne t'ai même pas encore effleuré.

 

 

 

 

Que douze mecs

Travers : C'est pas un peu compliqué comme route ?
Hal : Le plus rapide c'est de monter par la face est... Seulement, y'a que douze mecs au monde qui peuvent le faire. Tu tentes le coup ?

 

 

 

 

Qualen : Walker pense peut-être protéger son copain de moi.
Hal : C'est pas mon copain, je déteste ce type autant que je vous déteste vous Qualen !
Qualen : Je salue l'effort. Mais je ne sous estime jamais la force de la loyauté surtout quand elle est spontanée. Elle n'a rien à voir avec celle qu'on paie grassement.

 

 

 

 

Hal : Pauvre malade... Assassin.
Qualen : Tuer un homme c'est être un assassin mais... en tuer des million c'est être un conquérant. Va comprendre.

 

 

 

 

C'est la reine

Qualen : Tu ferais une bonne petite femme au foyer.
Kristel : Je suis la reine de la pâtisserie.

 

 

 

 

L'angelot

Qualen : Rendez vous sur la crête la plus proche et la plus haute. Si tu ne viens pas, on saura très vite si ton angelot en sucre sait voler.

 

 

 

 

 

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14 septembre 2010 2 14 /09 /septembre /2010 14:25

Dredd : La loi c’est moi ! Et l’ordre ! Toutes vos armes me doivent être remises, tous vos quartiers sont en état d’arrestation.

 

 

 

Dredd : Je suis la loi et je vous arrête ! Jetez vos armes et préparez vous à être jugés

 

 

 

Hershey : Ca vous ferais mal d’éprouver une émotion pour une fois ?
Dredd : Emotion ? Ca devrait être interdit par la loi.

 

 

 

 

Dredd : Il y a pas 24 heures qu’il est sorti de prison, c’est un récidiviste. Peine automatique de 5 ans. Qu’est ce que vous plaidez ?
Fergie : Non coupable.
Dredd : J’étais sûr que vous diriez ça.
Fergie : Une peine de 5 ans ?! Non mais enfin ! Non ! J’avais pas le choix ! Ils se zigouillaient tous là-dedans !
Dredd : Vous auriez pu sauter par la fenêtre.
Fergie : Du quarantième étage ?! Mais c’était suicidaire !!
Dredd : Peut être, mais c’était légal.

 

 

 

 

Dredd : Le clan légendaire Angel & fils. Pirates de la terre de malédiction. Assassins, charognards et avant tout, sacs à merde.
Fergie : Ca je sens que ca va les amadouer.
Dredd : J'ai rien oublié P'pa ?

 

 

 

Dredd : T'as la fourchette avec le canif ma beauté ?

 

 

 

Dredd : Allez Fergie on se lance?
Fergie : Nonnnnn !
Dredd : Qu'est ce qui cloche !La loi c'est moi !
Fergie : Qu'est ce qui cloche ?! Mais vous êtes sonné ? À force d'avoir ce casque sur la tête, ca vous a comprimé la cervelle, j'ai pas envie de mourir.
Dredd : Y'a un fou dangereux dans la cité !
Fergie : Quelle coincidence ! À l'extérieur y'en a un autre.
Dredd : Hoo ?
Fergie : Tu parles d'une balade. Le crash de la navette, la terre de malédiction, les cannibales et maintenant un feu d'artifice aux fesses, tout ça c'est votre faute !
Dredd : Ma faute ?
Fergie : Ouais !
Dredd : Citoyen, j'attends vos explications !
Fergie : Si vous ne m'aviez pas envoyé au bagne, je me retrouverais pas ici comme un imbécile ! Tuez moi tout de suite, ca va abréger mes souffrances ! [une gerbe de flammes] Ah cette fois ça y est les carottes sont cuites ! Je ne bouge pas d'ici jusqu'a ce qu'on me coffre ! Ou que vous me fassiez vos excuses !
Dredd : La loi ne fait pas d'excuses !
Fergie : Y'a un qu'un seul hic, la loi maintenant c'est plus vous ! Alors excusez vous ! Je crois que je le mérite.
Dredd : Jamais j'ai fait d'excuses. [gerbe de flamme] Fonce !! 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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14 septembre 2010 2 14 /09 /septembre /2010 14:11
John Spartan :
Un Dingue pour en arrêter un autre.
Simon Phoenix :
Il fait froid ici... Ou ça vient d'moi ?
Directeur de la prison : Avez-vous quelque chose de nouveau à dire en votre faveur ?
Phoenix :   ...
Directeur de la prison : C'est bien ce que je pensais.
Phoenix : Si... Une chose... " Ours en peluche "
Un policier [A son ordinateur portable] : Le maniaque est a proximité, sollicitons conseils.
L'ordinateur : Demandez au maniaque sur un ton ferme de se coucher face contre terre, les mains sur la nuque.
Le policier : Simon phoenix, couchez-vous face contre terre, les mains sur la nuque.
Phoenix : Qu'est ce que c'est ça ? Six pantins, dans de jolis p’tits uniformes. Oh mamannn j’ai la trouille ! [Un blanc] ben quoi ? Ils balancent plus de vannes maintenant les flics ?
Le policier [A son ordinateur] : Le maniaque a répondu par une remarque désobligeante.
Spartan : Filez-moi une Marlboro
Alfredo Garcia : Oui bien sûr tout de suite... Qu'est ce que c'est une Marlboro ?
Spartan : Une cigarette, n'importe quelle cigarette !
Lenina Huxley : Fumer vous fait du mal, il a été estimé que tout ce qui nous fait du mal est mauvais, donc interdit : Alcool, caféine, viande, sport de contact...
Spartan : Vous vous foutez de ma gueule !
Machine : John Spartan vous avez une amende d'un crédit pour infraction au code de moralité du langage.
Spartan : Qu’est ce que c'est que cette connerie ?
Machine : John Spartan vous avez une amende d'un crédit pour infraction au code de moralité du langage.
Huxley : ... mots grossiers, chocolat, essence, jouet non éducatif, nourriture épicée, l'avortement est aussi interdit de même que la grossesse si vous n'avez pas d'autorisation.
Spartan [Discrètement] : Je sais pas si vous êtes au courant mais y'a plus... hum... y'a plus de papier toilette...
Garcia : Vous avez dit papier toilette ?
Lenina : Oh ! Au vingtième siècle ils utilisaient des poignées de feuilles de papier pour ce que vous savez.
[Rires]
Spartan : J’suis bien content que ça vous amuse, mais là où il devait y avoir du papier toilette y'a une sorte d'étagère avec trois coquillages dessus.
L'intendant : Ah ah ah il ne sait pas se servir des trois coquillages ! [Rires, Spartan a l'air méchant] Heu… Je conçois que ça peut être déroutant.
[Spartan s'approche de la machine à amendes...]
Spartan : Merci beaucoup tronche de merde...
Machine : BIIIP John Spartan...
Spartan : ... Casse-couilles.
Machine : BIIIP John Spartan...
Spartan : ... Putain d'enculée...
Machine : BIIIP John Spartan...
Spartan : ... de saloperie de machine...
Machine : BIIIP John Spartan...
Spartan : ... à la mords moi l'noeud.
Machine : BIIIP John Spartan vous avez une amende d'un crédit pour infraction au code de moralité du langage.
[Spartan récupère toutes les amendes]
Spartan [Fier de lui] : Plus besoin d'coquillages ! J’en ai pas pour longtemps.
Chef de la police : Votre code a été implanté dès que vous avez été décongelé.
John Spartan : Pourquoi pas une laisse dans le cul c'était plus simple !
Huxley : Ca fait un certain temps maintenant que je me passionne pour vos exploits. J'ai d’ailleurs visionné des reportages d'époque à la fondation Schwarzenegger ! Je me souviens de la fois où vous avez pris ces...
Spartan : Attendez ! La fondation Schwarzenegger ?
Huxley : Oui la fondation du président Schwarzenegger. Ce n'était pas un acteur quand vous...
Spartan : Me dites pas qu'il a été président ?
Huxley : Si. N'étant pas natif du pays il n'aurait pas dû l'être mais sa popularité était telle qu'un 61e amendement a été voté...
Spartan : ... Ohhh j'veux pas le savoir... pfff président ?!
Spartan :
Tu vas regretter ça le restant de ta vie c'est-à-dire deux secondes.
Huxley : John Spartan, il y a comme vous le savez sans doute euh cela a été prouvé, une relation entre le sexe et la violence. Il ne s'agit pas d'un effet causal mais d'un état général d'excitation neurologique et euh après avoir observé votre comportement ce soir et le... trouble que j'ai ressenti alors... heu... je me demandais si vous voudriez faire l'amour.
Spartan [N'en crois pas ses oreilles] : ... Avec vous ? [Lenina hoche la tête] ici ? [Lenina hoche la tête] Maintenant ? [Lenina hoche la tête] Ooooh ouai !
Lenina Huxley
Huxley : AH ! Vous avez rompu le contact !
Spartan : Le contact ? Le contact ! J’vous ai même pas touchée !
Huxley : Mais je croyais que vous vouliez faire l'amour ?
Spartan : C'est ça que vous appelez faire l'amour ??
Huxley : Il a été prouvé que le sexe virtuel générait des ondes alpha pendant le transfert digitalisé des énergies sexuelles.
Spartan : Bon Huxley qu’est-ce que vous diriez si on faisait ça à l'ancienne mode ?
Huxley [Choquée] : Oh ! C’est dégoûtant !... Vous voulez dire... Un transfert de fluides ?
Spartan : Nan ! Je veux dire bander, baiser, faire crack crack boum boum, s'envoyer en l'air quoi !
[...]
Huxley : Les échanges buccaux ne sont même pas autorisés !
Spartan : C'est interdit de s'embrasser ?! J'embrassais bien c'est con...

Spartan : Je sais pas ce qu'on avait mis dans ma cryo-mixture, mais une fois décongelé, j'ai plus eu qu'une seule envie c'est tricoter. Comment ça se fait que je sais ce que c'est qu'une surpiqûre, des ciseaux à cranter le point de bâti, le point de bourdon ! Là tout de suite je pourrais vous broder un napperon les yeux fermés !
Huxley : Ca fait partie de votre programme de réinsertion : l'ordinateur détermine pour chaque détenu le métier ou le savoir faire le plus conforme à ses dispositions génétiques. Il lui inculque alors le savoir et le désir de mettre à profit l'enseignement qu'il a reçu.
Spartan : J’SUIS UNE COUTURIERE ?!? Alors ça c'est le bouquet ! j’sors de Cryoprison transformé en Coco Channel !
Spartan : J'crois qu'tu fais pas partie des plans de Cocteau.
Edgar : Cupidité, tromperie, abus de pouvoir ! Tu parles d'un plan !
Spartan : C'est pour ça que vous vivez tous là dedans ?
Edgar : T'as tout compris. Tu vois, si on se fie aux projets de Cocteau, je suis l'ennemi parce que je pense. Parce que j'aime lire. Parce que je suis pour la liberté d'expression et la liberté de choix ! Je suis le genre de mec qui aime aller dan un bon restau et qui se demande si il va prendre une côte de boeuf ou un pavé de rumsteack géant avec ses frites mayonnaise ! Je veux faire du cholestérol. Je veux bouffer du bacon, du beurre, des montagnes de fromage ! Je veux fumer un cigare de la taille de la tour Eiffel dans un coin non fumeurs ! Je veux courir tout nu dans les rues le corps barbouillé de ketchup en lisant Playboy ! Pourquoi ? Parce que j'en aurai eût envie tout d'un coup ouais mec ! J’ai vu l'avenir façon Cocteau, c'est une vierge de 47 ans dans un pyjama beige qui boit des milk shakes banane carotte en chantant une pub débile ! Vous vous pliez aux volontés de Cocteau là haut : Ce qu'il veut, quand il veut, comme il veut ! Votre autre choix, vous joindre à nous, et peut-être mourir de faim...
Phoenix : Tres bien messieurs, récapitulons. On est en 2032, ça donne 2-0-3-2, c'est le 21ème siècle quoi, et j'ai le regret de vous annoncer que le monde est maintenant peuplé de couille molle, c'est un remake de la petite maison dans la prairie joué par une bande de pédale en robe longue.
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14 septembre 2010 2 14 /09 /septembre /2010 11:45

rocky:

QUAND T'ES RESTER QUELQUES PART SUFFISAMENT LONGTEMP ON DEVIENT UNE PARTIE

 

LA TOUTE PREMIER FOIS QUE JE SUIS RENTRER AVEC ELLE,ELLE ETAIT NERVEUSE ELLE RESTER LA AVec  SON SOURIRE TIMIDE,TOUT CE QUE JE VOULAIS C'ETAIT QU'ELLE EST CONFIANCE EN MOI,ET ELLE ET RESTER.

ROCKY:

LA PREMIERE FOIS QUE JAI ENMENNER  TA SOEUR FAIRE DU PATIN A GLACE ON ETAIT LA BAS,ELLE ETAIT NERVEUSE MAIS J'AVOUE QUE J'ETAIT PAS FIERE   NON PLUS SUR LA GLACE.

PAULIE:

LA GLACE C'EST UN TRUC DEBILE,LES PATINEURS SUR GLACE C'EST ENCORE PLUS DEBILE.

ROCKY:

ET LA AU FOND ELLE ET TOMBER JAI  A PEINE EUX LE TEMP DE L'ATTRAPER ELLE C'EST ACROCHER A MON BRAS ET JE L'AIS SENTI SOUS SON MANTEAU TOUT ELECTRIQUE.

PAULIE:

TU SAIS QUE LA TU REPETE CE QUE TA DIS L'ANNEE DERNIERE,ALLEZ ROCKY ON Y VA,ON A FINI Y A RIEN POUR S'ASSOIR ICI.

ROCKY:

ALLER CA VA

PAULIE:

NON CA VA PAS,JAI LE BOURDON JAI FROID PUIS J'EN AIS RAS LE BOL

ROCKY:

ENFIN QUESQUE TA SE SOIR

PAULIE:

JAI QUE  J'EN AIS MARRE TU VIE EN RECULONS,CHANGE DE CHAINE C'EST TERMINE CE TEMP LA EST ARETTE D'ANGELIVER

ROCKY:

C'EST MES SOUVENIRS A MOI

PAULIE:

JE LES AIME PAS,TU LA RENDAIT HEUREUSE, VOUS RIGOLIEZ ENSEMBLE,MOI JE LUI FESAIT DE LA PEINE ALORS JE VOUDRAIS OUBLIER TOut ca

 ROCKY

:ELLE TA TOUJOUR AIMER  PAULIE

PAULIE:

DESOLE ROCKO C'EST TROP DUR J' Y ARRIVE PLUS.........

 

http://www.winonlyriders.net/thelostforum/cinema/RockyBalboa1.jpg

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14 septembre 2010 2 14 /09 /septembre /2010 00:21

PHOENIX:

SAIS PLUS FORT QUE MOI J'SUIS UN ALLUMER DU PASSE

SPARTAN:

TU AURAIS DU Y RESTER

PHOENIX:

OH MERDE JE CONNAIS CETTE VOIX LA, QUI SAIS

SPARTAN:

RATER BLONDINET

PHOENIX:

SPARTAN,JOHN SPARTAN OH ON LAISSE RENTRER N'IMPORTE QUI DANS CE SIECLE

SPARTAN:

TU ME FACILITE PAS LA TACHE PHOENIX

PHOENIX

:DIS MOI SI JE COMPREND BIEN IL T'ON DECONGELER POUR QUE TU COINCE UN PAUVRE TYPE COMME MOI ALORS LA TU T'EST FAIT BAISER,CA FAIT QUARANTE ANS QUE JE REVE DE TE TUER

SPARTAN:

A OUAIS BEN CONTINUE DE REVER

 

http://www.replikultes.net/medias/uploads/films/demolition_man/demolition_man_spartan_action.jpg

 

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14 septembre 2010 2 14 /09 /septembre /2010 00:07

mickey:

tape ton jab bonsemt,tape ton jab,ouais tres c'est ca,hein j'ai pas entendu la cloche.

rocky:

ok

mickey:

c'est ca tres bien ,c'est ca visualise tu vois cette truffe devant toi,tu te vois en train de l'avoir et tu la du coup,oh ca c'est superbe du premier choix time,aller viens la mon rocky,ben dis donc t'es pret toi apollo il va pas savoir d'ou ca tombe tu va y passer dessus comme un bulldozer,t'es un bulldozer italien.tu sais coco je me met a ta place devant le combat qui se prepare,parce que jai ete jeune moi aussi,il faut que je te dise un truc, si t'etais pas la je serais peut etre plus en vie a l'heure qui'l est le faite que tu sois la et meme un peut la ca me donne a moi comme on ditt une motivation pour rester en vie parce que moi je crois que defois on meurt quand on a plus envie de vivre.

rocky:

mais la nature est beaucoup plus fine qu'on crois ptit a petit on perd des amis,on perd un peut de tout on se dit a quoi bon vivre si c'est ca la vie jai aucune raison de continuer,mais avec toi jai une raison de continuer.je veut rester bien vivant histoire d'assister a ta reussite

rocky:

et je te lacherais jamais

mickey:

et je te lacherais jamais meme quand tu sera champion,juste que quand je te lacherais non seulement tu sera te battre,mais j'aimerais que tu sache t'occuper de toi en dehors du ring aussi daccord

rocky:

daccord

mickey:

maintenant jai un petit cadeau pour toi

rocky:

quesque tu a  encore fait comme folie

mickey:

tiens regarde moi ca tu a vu,c'est ce que j'ai de plus precieux sur cette putain de terre,c'est rocky marciano qui me l'a donné,tu sais ce que c'est,c'est un bouton de manchette,et la c'est moi qui t'en fait cadeaux,ca il faudra que se soit comme un ange gardien au dessus de ta tete,si tu prend des coups et que ca te fait comme un k.o lui l'ange gardien il va te murmurer a l'oreille,il va te dire tu te leve bougre de traine pantin y a mickey qui t'aime

rocky:

daccord merci mickey

mickey:de rien

rocky:

moi aussi je t'aime

mickey:

oh rocky tu va l'avoir petit,va y fonce

rocky:

merci

mickey:

tu l'aura petit tu l'aura

rocky:

c'etait toi l'ange......................

 

vlcsnap-1890941.png image by thepestilence123
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